La fête de Pessa’h Chéni nous apprend qu’il n’est jamais trop tard. Est-ce aussi vrai pour les pires fautes ? Nous analyserons l’histoire d’un personnage qui a reçu un message du ciel lui indiquant qu’il était trop tard et pourtant une autre chance lui a été donnée.
Peut-on bénir de manière excessive? Un cadeau divin peut-il être détourné ? Si oui, existe-t-il une bénédiction qui soit impénétrable à tous les problèmes ?
Lorsque nous sommes à notre point le plus bas, nous devons lever les yeux vers le ciel d'un noir profond et nous souvenir : demain, la lune brillera de nouveau.
Si je ne peux pas le faire correctement, pourquoi donc se fatiguer ? Que faire lorsque l’idéal semble inaccessible ?